lundi 28 mars 2011

Brigitte Fontaine & M - Y'a Des Zazous

Les Rita Mitsouko - Marcia Baila

Counting Crows - Mr. Jones

Fuck...!!

In San Francisco, a beautician, Keri Campbell, gives her 8-year-old daughter Briney, Botox shots every three months so she can become "popular" and "famous".

Uncanny Factoid: Botox Babies
The mother is proud that her daughter is most likely the youngest child in the world to receive Botox injections. She even claims that this will help her become famous as a teenager, and that she just wants Britney's life to be the best and so she can become a superstar.

The thing that really makes this disturbing is that, the little girl now asks to be given the Botox shots, claiming that she can see wrinkles. Her friends think it's cool that she gets this kind of treatment, and wants to be just like her.
Uncanny Factoid: Botox Babies
Britney's first shot was a year ago, from her mother, on her 8th birthday as a present. Ever since then, Keri started to buy the stuff online and has given her three more shots using a kit of needles she put together from the local chemist and from a diabetic friend.

The mother says that "everyone is doing it and is talking about it", referring to the other parents who are now preparing their daughters fro American beauty pageants. This isn't even illegal, this is 100% okay. There is no law saying that a child could not receive these type of treatments.

This isn't just all that Keri has done for the little girl's future. She has even waxed her arms, legs, and private parts, so she can get rid of the fluff and make sure she won't grow pubic hair when she grows up. Britney approves of her mother's treatment, saying that she feels like a supermodel.

The next step for Britney, is apparently a boob and a nose job, so that she can be a star, so says Britney, age 8.



Source

dimanche 20 mars 2011

Des trucs, des trucs et encore des trucs...

Des trucs par centaine ?  Comment faire avaler un médicament à votre chat ? Comment tuer les poux ?  Huiler les endroits difficile ? Etc... ? Ce site est pour vous ; 

http://www.trucmania.com

vendredi 18 mars 2011

La Géante de Charles Baudelaire

Du temps que la Nature en sa verve puissante
Concevait chaque jour des enfants monstrueux,
J'eusse aimé vivre auprès d'une jeune géante,
Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux.

J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme
Et grandir librement dans ses terribles jeux ;
Deviner si son cœur couve une sombre flamme
Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ;

Parcourir à loisir ses magnifiques formes ;
Ramper sur le versant de ses genoux énormes,
Et parfois en été, quand les soleils malsains,

Lasse, la font s'étendre à travers la campagne,
Dormir nonchalamment à l'ombre de ses seins,
Comme un hameau paisible au pied d'une montagne.

La Fiancée de Corinthe - Wolfgang Goethe (1797)

Venant d’Athènes, un jeune homme se rendit à Corinthe, où il était encore inconnu.
Il comptait sur l’aimable accueil de l’un de ses habitants ;
les deux pères étaient unis par les liens de l’hospitalité,
et avaient, depuis longtemps déjà,
fiancé l’un à l’autre
leur fils et leur fille.
 
Mais sera-t-il encore un hôte bienvenu
s’il n’achète chèrement cette faveur ?
Il est encore un païen, ainsi que les siens,
mais eux sont déjà chrétiens et baptisés.
Quand une nouvelle foi prend naissance,
souvent l’amour et la foi jurée
sont détruits comme une mauvaise herbe.
 
Déjà la maison tout entière était livrée au repos,
pères et filles ; seule la mère veille ;
elle reçoit l’hôte avec empressement ;
elle le conduit aussitôt dans la plus belle des chambres.
Prévenant ses désirs,
elle lui présente les vins et les mets les plus recherchés.
Ayant ainsi pris soin de lui, elle lui souhaite une bonne nuit.
 
Mais malgré le repas bien servi,
il n’éprouve aucune envie de manger ;
la fatigue lui fait délaisser mets et boisson,
et il se couche tout habillé sur son lit.
Et il est déjà presque endormi,
lorsqu’un hôte étrange
pénètre dans la chambre par la porte ouverte.
 
A la lueur de la lampe il voit s’avancer
dans la chambre une jeune fille silencieuse et pudique,
couverte d’un voile et de vêtements blancs,
le front ceint d’un ruban noir et or.
Dès qu’elle l’aperçoit,
elle s’étonne et s’effraie,
et lève sa blanche main.
 
“Suis-je donc, s’écrie-t-elle, si étrangère dans ma propre maison
que l’on ne m’ait point annoncé la présence d’un hôte ?
C’est ainsi, hélas ! que l’on me tient enfermée dans ma cellule,
et qu’ici, maintenant, je suis couverte de honte !
Mais continue à reposer
sur ta couche ;
je vais m’éloigner promptement, comme je suis venue.”
 
“Reste, belle jeune fille !” s’écrie le jeune homme
en quittant précipitamment son lit.
“Voici les dons de Cérès, voici ceux de Bacchus,
et voici, chère enfant, que tu apportes l‘amour.
Tu es pâle de frayeur !
Viens, chère jeune fille, viens,
et goûtons ensemble aux joies des dieux !”
 
“Reste loin de moi, jeune homme, arrête !
Je ne suis pas vouée à la joie.
Le dernier pas, hélas ! a été fait
par ma mère chérie ; égarée par la maladie,
elle fit, en guérissant, le serment
que ma jeunesse et mon corps
seraient consacrés désormais au service du ciel.
 
“Et le brillant cortège des anciens dieux
a quitté aussitôt la maison devenue silencieuse.
On n’adore plus maintenant qu’un seul Dieu
invisible dans le ciel, qu’un Sauveur sur la croix ;
l’on n’offre ici en sacrifice,
ni brebis ni taureaux,
mais des victimes humaines en nombre infini !”
 
“Et il la questionne, et il pèse tout ses paroles,
dont aucune n’échappe à son esprit.
“Est-il possible que, dans cette chambre silencieuse,
ce soit ma fiancée bien-aimée qui se tient là devant moi ?
Sois donc à moi !
Les serment de nos pères
nous ont déjà valu la bénédiction du Ciel !”
 
“Ce n’est pas moi qui te suis destinée, bon jeune homme !
C’est ma soeur plus jeune qui t’est réservée.
Lorsque dans ma cellule silencieuse, je serais livrée à mes tourments,
ah ! pense à moi dans ses bras,
à moi qui ne pense qu’à toi,
qui me consume d’amour,
et qui, bientôt, irai me cacher sous la terre !”
 
“Non, je le jure par cette flamme
qu’Hymen, dès maintenant, fait briller pour nous,
tu n’es perdue ni pour la joie ni pour moi,
et tu m’accompagneras dans la maison de mon père.
Bien-aimée, reste ici !
Célèbre à l’instant même avec moi,
bien qu’inattendu, notre festin nuptial !”
 
Et déjà ils échangent les gages de la fidélité :
elle lui tend une chaîne d’or,
et il veut lui offrir une coupe
d’argent, d’un art incomparable.
“Cette coupe n’est pas pour moi ;
mais je t’en prie,
donne-moi une boucle de tes cheveux !”
 
A ce moment sonna l’heure lugubre des esprits,
et alors seulement, la jeune fille parut être à son aise.
Avidement, de ses lèvres pâles, elle but
le vin, d’un rouge sombre comme le sang.
Mais du pain de froment qu’il lui offrit aimablement,
elle ne prit pas la plus petite miette.
 
Et elle tend la coupe au jeune homme,
qui, comme elle, la vide d’un seul trait, goulûment.
Et pendant ce repas silencieux il lui demande son amour.
son pauvre coeur, hélas ! était malade d’amour.
Mais elle résiste
à toutes ses supplications,
jusqu’à ce qu’il tombe en pleurant sur le lit.
 
Et elle vient et s’étend près de lui.
“Ah ! comme je souffre de te voir ainsi tourmenté !
Mais, hélas ! si tu touches à mes membres,
tu sentiras en frissonnant ce que je t’ai caché.
Blanche comme la neige,
mais froide comme la glace
est l’amante que tu as choisie !”
 
Il la saisit avec ardeur dans ses jeunes bras vigoureux,
emporté par la force de son jeune amour.
“Espère cependant te réchauffer encore près de moi,
même si c’est le tombeau qui t’a envoyée vers moi.
Mêlons nos souffles, échangeons nos baisers !
Que notre amour déborde !
Ne brûles-tu pas en sentant la flamme qui me dévore ?”
 
L’amour les unit plus fortement encore :
des larmes se mêlent à leurs transports.
Avidement elle aspire le feu de ses lèvres,
et chacun ne se sent vivre que dans l’autre.
A la fureur d’amour du jeune homme
le sang figé de la jeune fille se réchauffe,
mais dans sa poitrine le coeur ne bat pas.
 
Cependant la mère, attardée aux soins du ménage,
passe encore, d’un pas glissant, dans le couloir, devant la chambre,
écoute à la porte, écoute longtemps
ces sons étranges :
accents plaintifs et voluptueux
d’un fiancé et de sa fiancée,
balbutiements insensés de l’amour.
 
Elle reste debout, immobile, à la porte,
car elle veut avant tout se convaincre,
et elle entend avec colère les serments d’amour les plus solennels,
des paroles d’amour et de caresse :
“Silence ! le coq se réveille !
- Mais la nuit prochaine
tu viendras de nouveau ?” Et baisers sur baisers.
 
La mère ne peut contenir plus longtemps son
courroux, ouvre rapidement la serrure bien connue.
“Y a-t-il donc dans cette maison des filles perdues
capable de se donner ainsi aussitôt à l’étranger ?”
Elle ouvre la porte, entre,
et, à la lumière de la lampe,
aperçoit, ô Ciel, sa propre fille.
 
Et le jeune homme, dans le premier moment
d’effroi, veut couvrir la jeune fille avec son voile,
cacher la bien-aimée avec le tapis.
Mais elle se débat et se dégage aussitôt.
sa haute stature
se redresse lentement dans le lit.
 
“Mère, mère !” dit-elle d’une voix sépulcrale,
“Vous me reprochez donc cette nuit si belle ?
Vous me chassez de cette chaude couche ?
Ne me suis-je donc réveillée que pour me livrer au désespoir ?
Ne vous suffit-il donc pas
de m’avoir de bonne heure ensevelie dans un suaire
et mise au tombeau ?
 
“Mais une loi qui m’est propre me pousse
hors de la tombe étroite au lourd manteau de la terre.
Les chants psalmodiés par vos prêtre
et leur bénédiction n’ont aucun effet.
L’eau et le sel ne peuvent
éteindre l’ardeur de la jeunesse,
et la terre, hélas ! ne refroidi pas l’amour.
 
“Ce jeune homme me fut promis jadis,
alors qu’était encore debout le temple de l’aimable Vénus.
Mère, et vous avez violé votre promesse
en vous liant par un voeu barbare et sans valeur.
Car nul Dieu n’exauce
une mère qui jure
de refuser la main de sa fille.
 
“Une force me chasse hors du tombeau
pour chercher encore les biens dont je suis sevrée,
pour aimer encore l’époux déjà perdu,
et pour aspirer le sang de son coeur.
Et quand celui-ci sera mort,
je devrai me mettre à la recherche d’autres,
et mes jeunes amants seront victimes de mon désir furieux.
 
“Beau jeune homme, tes jours sont comptés.
Tu vas maintenant mourir de langueur en ce lieu.
Je t’ai donné mon collier ;
j’emporte avec moi ta boucle de cheveux.
Regarde-la bien !
Demain tes cheveux seront gris ;
dans la tombe seulement ils redeviendront noirs.
 
“Écoute maintenant, mère, ma dernière prière ;
Fais dresser un bûcher.
Ouvre l’étroit tombeau où j’étouffe,
et rends au repos les amants en les livrant aux flammes.
Quand l’étincelle jaillira,
quand les cendres seront ardentes,
nous nous envoleront vers les anciens dieux !”

jeudi 17 mars 2011

Chinese Feet

These are Chinese women who have feet that are deformed as a result of the drastic measures that are taken to keep their feet small such as having their toes or arches broken and of course, of wearing shoes that are much too small. In China a sign of femininity for girls is to have small feet. The result is feet that are deformed.
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet


Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet 
 
 
Scary Chinese Tradition Makes Deformed Feet

mercredi 2 mars 2011

Somewhere Over the Rainbow - Israel "IZ" Kamakawiwo'ole

Auschwitz - The Camp Of Death

The inscription "Arbeit macht frei" meaning "Work makes free" was stolen in 2009 and then found sawn up into three parts. What one may see now are these three parts restorated and given back to the front entrance.
Concentration camp Auschwitz was established in the former military barracks of the Polish town Oswiencim.
The territory got encircled with double barbed wire fence.
The barracks were renamed into "blocks" and numerated.
Prisoners were placed into the blocks according to race, sex and other сriteria.
Today in some blocks one can see historical expositions.
German aggression against Poland.
Executions in Cracow.
August 1991, village Mednoye (the Tver region, Russia) - remains of the prisoners of war in a concentration camp.
Polish children, who were in the army of general Anders, and in 1942 were evacuated from the USSR to Iran.
Wartime posters.
Plan of the places from where Jews and prisoners of other nationalities were deported to Auschwitz.
Prisoners' uniform.
Prisoners' shoes. In this block there are heaps of personal things, eyeglasses and suitcases. On the upper floor - several tons of human hair, stored up for the German light industry.
Anthropometric data of the prisoners written down by doctor Joseph Mengele, also known as "Angel of death".
These two blocks are connected with walls.
Here the doomed to execution waited for their deaths.
The walls are covered with the portraits of the executed people. Judging by the dates, men lived here about a year on the average and women about three months.
Camp crematorium.
Gas chamber.
Incinerators.
Behind the crematorium there are the gallows where the first commandant of Auschwitz concentration camp Rudolf Hoss was hanged in 1947.
Birkenau (Auschwitz 2). In 1941 the German authorities made the decision to extend the concentration camp and near Oswiencim the largest German concentration camp was built - Birkenau. It was projected to keep hundreds of thousands of prisoners, which had to be placed according to the categories: sex, nationality, race, health condition etc.
There were two railroads in the camp.
On one side there were brick barracks, the purpose of which continually changed.
There were single chambers where prisoners served their sentence and chambers where prisoners were killed with injections.
Inside the barracks.
Prisoners were placed in four tiers.
The railway went from barracks to gas chambers and crematoriums.
Crematoriums of Auschwitz-2 are destroyed.
Such memory stones are installed by the former crematoriums.



 Source ; http://wonderaday.com/blog/1847/